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Caviar rime avec opulence et festivité depuis toujours. Si le goût d’un tel produit s’est amélioré depuis des années, sa valeur est restée à peu près la même. Le caviar est un mets spécial et très couteux. Contre toute attente, ces dernières années ont cependant été marquées par la démocratisation du produit dans les restaurants et dans les magasins offrant ainsi du caviar se déclinant sous différentes variétés, pas toujours de qualité cependant. Chez la Maison du Caviar, le caviar est accessible à tout le monde, tout en restant fidèle à la qualité cependant.
Cyril de Lalagade, aujourd’hui à la tête de la Maison du Caviar
Après la mort de Fernand de Lalagade, Odette de Lalagade a pris la direction du restaurant et depuis quelques années, Cyril de Lalagade est à la tête de cet établissement prestigieux de Paris. Il n’en a pas toujours été pareil cependant, en effet, Cyril de Lalagade commence par voler de ses propres ailes, il crée même sa propre compagnie et s’en contentera pendant un moment, mais finira cependant par reprendre l’entreprise familiale se composant de Caviar Volga et de la Maison du Caviar. Aujourd’hui, Cyril de Lalagade est aux commandes depuis plus d’une vingtaine d’années. Les habitués de son resto le connaissent, il est connaît aussi et passe de temps à autre faire un brin de causette quand ils sont à table, les nouveaux clients, il les repère assez vite et se met à leur disposition pour les aider dans les choix qu’ils doivent faire.
Un caviar devenu plus accessible
Si les amateurs de caviar qui viennent dans le restaurant dirigé par Cyril de Lalagade sont si nombreux et viennent des quatre coins du globe, c’est qu’il y a sans doute une bonne raison. En effet, déjà que le caviar servit et vendu par la Maison du caviar fait parti des meilleurs, la Maison du Caviar a aussi permis de rendre ce met délicat et coûteux à la portée de toutes les bourses ou presque. La qualité a un prix, tout le monde en conviendra, et chez la Maison du Caviar, Cyril de Lalagade a fait en sorte que tout le monde puisse jouir d’un tel produit, selon ses moyens. La crise économique n’arrangeant pas les choses, les notes du restaurant ont-elles aussi dû s’adapter, sous différentes formes. Par portion de 10g, ajoutés à des œufs ou encore aux spaghettis, nombreux sont ceux qui se sont lancés dans l’aventure.
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